À l’heure de la digitalisation et de l’ère post-covid où tout le monde a eu le temps de s’interroger sur son avenir professionnel, certaines aspirations sont apparues de manière massive chez les salariés. Parmi ces aspirations, on trouve notamment l’envie de créer son propre emploi et de reprendre en main son destin en le gérant seul. Une fois la problématique posée, il s’agit de savoir comment mettre en œuvre le plan qui doit guider vers la liberté et la maîtrise tant recherchées. Parce qu’il n’y a pas que des inconvénients dans le salariat, nous passons en revue quelques points qui vous montreront comment mener sa barque sans que le grand saut soit trop vertigineux.
Le meilleur des deux mondes : quand salariat et indépendance se rejoignent
Qui n’a jamais rêvé de choisir ses sujets de travail, ses missions, ses clients et ses horaires ? Qui n’a jamais pensé à travailler et à se lever chaque matin pour lui-même ? À l’inverse, qui ne s’est jamais stoppé dans son élan par peur des démarches, de la prospection, de ne pas trouver de débouchés pour ses produits et services ? C’est là qu’intervient le portage salarial. Le principe fondateur du portage salarial est de proposer une solution alternative à tous ceux qui souhaitent entreprendre sans en supporter les mauvais côtés ou les risques. Pour plus de précisions sur ce terme complexe, aller voir cette page : portage salarial définition.
Les joies du salariat en toute liberté
En optant pour le portage salarial, comme son nom l’indique, on profite du statut de salarié et de ses dimensions sociales. On continue de cotiser au régime général de la sécurité sociale pour son assurance maladie, son assurance chômage, on conserve une fiche de paie, etc. C’est une liberté assurée, avec filet de sécurité qui limite les changements inhérents à une évolution de son statut de travailleur. Dans les faits, sur ces activités, on reste un travailleur salarié !
L’entrepreneuriat sans les contraintes
En faisant le choix du portage salarial, on ne ferme pas les portes de ses envies premières. Oui, on conserve sa liberté de choix dans ses missions et ses sujets. On s’appuie aussi sur un partenaire de choix qui peut vous alimenter en proposition de missions, de clients… Si on fixe son prix de journée comme tout indépendant ou freelance, on profite aussi d’une certaine manière du réseau et des connexions de la société de portage. Oui, il faut prospecter, mais en étant accompagné. L’inconnu parait tout à coup très familier.
Rassurant pour vous, mais aussi pour votre banquier qui cherche de la stabilité, le portage salarial est le bon compromis. Pour ceux qui veulent se lancer sans tout abandonner de leur ancienne vie de salarié où les risques étaient plutôt très limités, c’est une solution à ne pas laisser de côté. Notamment dans une phase de transition nouvelle ou l’écart des situations entre salariat et indépendance doit être mesuré précisément, le portage salarial apporte une réponse claire et efficace.
Avec une telle assurance, et face à l’incertitude qu’impliquent l’évolution vers l’entrepreneuriat et la création d’entreprise, aucune raison de ne pas envisager la solution !